
Pierre Bouhnoure, âgé de 61 ans présente de multiples contusions et 16 points de suture. Il a fait l'objet d'un arrêt de travail de plus de 8 jours. (Photo Stéphane Lartigue)
Deux jeunes gens, dont un mineur, ont été placés en garde à vue après l'agression du proviseur d'un lycée professionnel de l'agglomération bordelaise dans son établissement dans la nuit de lundi à mardi, a indiqué aujourd'hui la gendarmerie à l'AFP.
Les deux agresseurs présumés, âgés de 19 et 17 ans, ont été interpellés hier matin pour le premier et ce matin pour le second, puis placés en garde à vue, selon la même source. D'après les premiers éléments de l'enquête, ils n'étaient pas élèves de ce lycée et n'avaient "aucun lien" avec le proviseur. Le proviseur du lycée professionnel de Blanquefort (Gironde), blessé au visage, avait porté plainte hier.
Peu après minuit, dans la nuit de lundi à mardi, Pierre Bouhnoure, âgé de 61 ans, était sorti pour une inspection après que l'alarme incendie de l'établissement eut été déclenchée lorqu'il s'est retrouvé face à ses agresseurs, a indiqué le quotidien Sud Ouest dans son édition d'aujourd'hui.
Pierre Bouhnoure a été alors jeté à terre et frappé par les deux jeunes gens. Selon le quotidien régional, le proviseur, qui s'est fait poser "seize points de suture autour d'un oeil", s'est vu prescrire une incapacité temporaire totale de travail (ITT) supérieure à huit jours.
Les deux agresseurs présumés, âgés de 19 et 17 ans, ont été interpellés hier matin pour le premier et ce matin pour le second, puis placés en garde à vue, selon la même source. D'après les premiers éléments de l'enquête, ils n'étaient pas élèves de ce lycée et n'avaient "aucun lien" avec le proviseur. Le proviseur du lycée professionnel de Blanquefort (Gironde), blessé au visage, avait porté plainte hier.
Peu après minuit, dans la nuit de lundi à mardi, Pierre Bouhnoure, âgé de 61 ans, était sorti pour une inspection après que l'alarme incendie de l'établissement eut été déclenchée lorqu'il s'est retrouvé face à ses agresseurs, a indiqué le quotidien Sud Ouest dans son édition d'aujourd'hui.
Pierre Bouhnoure a été alors jeté à terre et frappé par les deux jeunes gens. Selon le quotidien régional, le proviseur, qui s'est fait poser "seize points de suture autour d'un oeil", s'est vu prescrire une incapacité temporaire totale de travail (ITT) supérieure à huit jours.