Hervé Lefebvre se bat depuis quatre ans pour que la sécurité soit améliorée aux entrées de la cité scolaire de Noyon qui regroupe le lycée d’enseignement général Jean-Calvin et le lycée professionnel Charles-de-Bovelles. Et ce professeur d’histoire-géographie sait de quoi il parle : « En mai 2006, j’ai été agressé à la bombe lacrymogène par un individu extérieur au lycée, devant ma salle de cours », rappelle-t-il.
Constatant que d’autres agressions d’élèves et d’enseignants ont été commises au cours des mois et des années suivants, il a décidé de passer à la vitesse supérieure. « J’ai déposé une plainte contre l’Education nationale auprès du tribunal administratif d’Amiens », dit-il. Une plainte qui sera étudiée par le tribunal le mercredi 8 septembre. Il s’agit là d’une démarche qui concerne l’agression dont il a lui-même été victime mais qu’il voudrait exemplaire. (...)
Mais, depuis, les choses se sont, semble-t-il, améliorées. Sensibilisée par ces incidents, même si elle considère que « la plupart de ces faits ont lieu à l’extérieur », la direction des deux lycées a demandé que soient posés des tourniquets à l’entrée. (...)
Constatant que d’autres agressions d’élèves et d’enseignants ont été commises au cours des mois et des années suivants, il a décidé de passer à la vitesse supérieure. « J’ai déposé une plainte contre l’Education nationale auprès du tribunal administratif d’Amiens », dit-il. Une plainte qui sera étudiée par le tribunal le mercredi 8 septembre. Il s’agit là d’une démarche qui concerne l’agression dont il a lui-même été victime mais qu’il voudrait exemplaire. (...)
Mais, depuis, les choses se sont, semble-t-il, améliorées. Sensibilisée par ces incidents, même si elle considère que « la plupart de ces faits ont lieu à l’extérieur », la direction des deux lycées a demandé que soient posés des tourniquets à l’entrée. (...)
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