
Selon un sondage réalisé par l’IFOP pour le quotidien "Le Monde", 79 % des enseignants du public auraient l’intention de voter pour François Hollande au second tour, alors même qu’ils ne semblent pas du tout convaincus par sa capacité à honorer ses promesses, notamment celle de créer 60 000 postes en 5 ans (un enseignant sur deux seulement pense qu’il tiendra cet engagement).
Les enseignants du public redoutent essentiellement l’accroissement de l’autonomie des établissements scolaires ( celle-ci étant bien mieux acceptée par les enseignants du privé qui, la vivant au quotidien, n’en ont plus peur ) et le renforcement du pouvoir des chefs d’établissements, notamment, en matière d’évaluation.
Le vote en faveur de François Hollande exprime donc plus un attachement à une forme de statut-quo qu’une réelle adhésion au projet socialiste.
Les enseignants du public redoutent essentiellement l’accroissement de l’autonomie des établissements scolaires ( celle-ci étant bien mieux acceptée par les enseignants du privé qui, la vivant au quotidien, n’en ont plus peur ) et le renforcement du pouvoir des chefs d’établissements, notamment, en matière d’évaluation.
Le vote en faveur de François Hollande exprime donc plus un attachement à une forme de statut-quo qu’une réelle adhésion au projet socialiste.
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