Régulièrement, des enseignants organisent des voyages scolaires dans les « camps de la mort » pour rappeler à leurs élèves toute l’horreur de la barbarie nazie. A quoi bon cette piqûre de rappel quand, dans le même temps, certains hommes politiques qualifient tout et n’importe quoi de « nazi » ?
Dernier exemple en date : le « dérapage » verbal de Michel Rocard dans l’hebdomadaire Marianne à propos des mesures annoncées par le président Sarkozy sur la sécurité, estimant que le projet de condamner les parents d’enfants délinquants remonte à « Vichy » et aux « nazis ». Rien de moins… On ne saurait trop lui conseiller de se rendre dans des camps de concentration afin qu’il prenne conscience de l’ignominie d’amalgamer le régime nazi avec la politique actuelle.
S’il me semble légitime de s’interroger sur le bien-fondé de ce projet de loi, il est tout aussi primordial de choisir une sémantique appropriée à sa critique. L’ancien Premier Ministre n’est hélas pas le seul à employer à tort et à travers des mots aussi connotés que « facho » ou « nazi » pour désigner toutes celles et ceux qui ne partagent pas les mêmes idées politiques, surtout en matière d’immigration.
Lorsque le même Michel Rocard s’indigne contre la proposition de retirer la nationalité aux Français d’origine étrangère condamnés pour atteinte à la vie d’un policier ou d’un gendarme, c’est lui et sa clique de donneurs de leçons, que l’on pourrait alors accuser - si l’on jouait à leur petit jeu - de collaboration avec l’ennemi. Car à chaque fois que quelqu’un prend la défense des intérêts du peuple français, ils tentent aussitôt de le traîner dans la boue.
A croire que leur dessein est de menacer la cohésion nationale pour satisfaire on ne sait quelle idéologie mondialiste dont eux seuls seraient les bénéficiaires, pendant que les Français trimeraient sans broncher. Mais les Français en question ne sont plus dupes. Faut-il rappeler que d’après le sondage Ifop sur ce sujet, plus de 80% d’entre eux approuvent les mesures de déchéance de la nationalité ?
Dernier exemple en date : le « dérapage » verbal de Michel Rocard dans l’hebdomadaire Marianne à propos des mesures annoncées par le président Sarkozy sur la sécurité, estimant que le projet de condamner les parents d’enfants délinquants remonte à « Vichy » et aux « nazis ». Rien de moins… On ne saurait trop lui conseiller de se rendre dans des camps de concentration afin qu’il prenne conscience de l’ignominie d’amalgamer le régime nazi avec la politique actuelle.
S’il me semble légitime de s’interroger sur le bien-fondé de ce projet de loi, il est tout aussi primordial de choisir une sémantique appropriée à sa critique. L’ancien Premier Ministre n’est hélas pas le seul à employer à tort et à travers des mots aussi connotés que « facho » ou « nazi » pour désigner toutes celles et ceux qui ne partagent pas les mêmes idées politiques, surtout en matière d’immigration.
Lorsque le même Michel Rocard s’indigne contre la proposition de retirer la nationalité aux Français d’origine étrangère condamnés pour atteinte à la vie d’un policier ou d’un gendarme, c’est lui et sa clique de donneurs de leçons, que l’on pourrait alors accuser - si l’on jouait à leur petit jeu - de collaboration avec l’ennemi. Car à chaque fois que quelqu’un prend la défense des intérêts du peuple français, ils tentent aussitôt de le traîner dans la boue.
A croire que leur dessein est de menacer la cohésion nationale pour satisfaire on ne sait quelle idéologie mondialiste dont eux seuls seraient les bénéficiaires, pendant que les Français trimeraient sans broncher. Mais les Français en question ne sont plus dupes. Faut-il rappeler que d’après le sondage Ifop sur ce sujet, plus de 80% d’entre eux approuvent les mesures de déchéance de la nationalité ?