À quand une sortie scolaire en hommage à Mohamed Merah ?
Telle est la question que l’on est en droit de se poser suite à la succession de cas d’enseignants qui se sont tristement illustrés auprès de leurs élèves dans le sillage de l’affaire Mohamed Merah et dont les médias se sont fait l’écho...
À commencer par cette professeure d’anglais, qui, devant ses élèves de terminale à Rouen, a évoqué la possibilité d’accorder une minute de silence en hommage au tueur. Quelques jours plus tard, dans un lycée lyonnais, une autre enseignante a déclaré aux élèves à qui elle faisait cours le lendemain même de la tragédie : "Nous allons faire la minute de silence, mais nous allons la faire aussi pour le tueur. (...) S’il a fait ça, c’est qu’il avait une bonne raison de le faire, il ne doit pas être bien dans sa peau. Le pauvre..."
Enfin, dernier cas répertorié dans la presse, celui d’une professeure de français en Ariège proposant un sujet d’argumentation à ses élèves de troisième sur le bien-fondé de la mort de Mohamed Merah dont voici la teneur exacte : "Est-ce une bonne chose que Mohamed Merah soit mort ? Pour les victimes, leurs familles, le Raid, la justice, sa famille, lui-même, les gens ?".
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Enfin, dernier cas répertorié dans la presse, celui d’une professeure de français en Ariège proposant un sujet d’argumentation à ses élèves de troisième sur le bien-fondé de la mort de Mohamed Merah dont voici la teneur exacte : "Est-ce une bonne chose que Mohamed Merah soit mort ? Pour les victimes, leurs familles, le Raid, la justice, sa famille, lui-même, les gens ?".
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